Angleterre : un patriote condamné à 2 ans de prison pour avoir posé des autocollants déplaisant aux juifs

La rédaction
Démocratie Participative
05 mars 2024

 

Juste au moment où j’allais oublier que la Grande-Bretagne est une dictature judéo-bancaire à l’origine de toutes les révolutions et guerres de ces quatre derniers siècles, le gouvernement de cette monarchie s’empresse de m’envoyer une notification.

BBC :

Un militant d’extrême droite a été incarcéré après qu’un juge l’a qualifié « d’antisémite » ayant des « sympathies nazies ».

Samuel Melia, 34 ans, a été reconnu coupable plus tôt cette année d’incitation à la haine raciale après une série d’incidents de « stickers » entre 2019 et 2021.

Melia, originaire de Pudsey dans le West Yorkshire, a été condamné à deux ans de prison à la Leeds Crown Court vendredi.

C’est bien ça : deux ans de prison pour avoir collé des stickers.

Le juge Tom Bayliss KC a déclaré : « La publication de ce type de matériel est corrosive pour notre société ».

Melia était à la tête du groupe Telegram Messenger Hundred Handers, un canal de réseau social qui générait des autocollants racistes et anti-immigration qui étaient imprimés et affichés dans des lieux publics.

Les autocollants contenaient des « insultes ethniques » à l’égard des communautés minoritaires qui témoignaient d’une « antipathie profonde à l’égard de ces groupes », a déclaré le tribunal.

Quand on sort du registre anti-islam pour poser de vraies questions sur les causes du Grand Remplacement, les problèmes sérieux commencent.

Pourquoi les juifs censurent la liberté d’expression ?

Ils veulent la conquête, pas l’asile

Petits chapeaux, gros problèmes

Ne demandez pas ce que les juifs peuvent faire pour votre pays, demandez vous ce que vous pouvez faire pour les juifs

Nous serons une minorité dans notre pays d’ici 2066

C’est ce qui a valu à Vincent Reynouard d’être extradé contre la législation britannique en vigueur.

Samuel Melia appartient au parti Alternative Patriotique, une des rares formations nationalistes qui existent encore au Royaume-Uni.

#FreeSamMelia L’alternative patriotique n’est une menace que pour ceux qui veulent nuire aux Britanniques dans leur propre patrie ancestrale.

Le nationalisme britannique a pour ainsi dire été détruit par le Brexit. Le principal carburant du Brexit était la fin de l’immigration de masse que Nigel Farage a vendu comme étant pilotée par Bruxelles.

Le débat a rapidement dérivé sur la nécessité de foutre les Polonais et les Roumains dehors pour faire entrer ces braves chieurs de rue indiens, loyaux serviteurs de la Couronne.

Exactement comme Asselineau qui n’a d’yeux que pour le Gabon.

Le résultat, c’est qu’à présent le Royaume-Uni n’a jamais eu autant d’immigrés du tiers-monde, à raison de plus d’un million par an.  L’immigration européenne ne représente que 15% du total.

Immigration totale : 1.18m

Total hors UE : 968 000

Indiens : 253 k
Nigérians : 141k
Chinois : 89k
Pakistanais : 55k
Ukrainien : 35k

Total UE : 129k

Si Bruxelles est favorable à l’immigration, l’UE ne pourrait rien faire sans une oligarchie locale qui la veut et l’organise. C’est assez clair avec le cas de la Hongrie d’Orban. Le Royaume-Uni n’a jamais fait partie de Schengen et il a toujours eu les leviers de l’immigration entre les mains. Il n’est même pas dans l’Euro.

Concrètement, les gens n’ont récolté que les interminables négociations économiques entre le Royaume-Uni et l’UE et l’explosion inédite de l’immigration. Du coup, l’opinion s’est complètement retournée. La population, à 55%, regrette le Brexit, contre 35% qui le soutiennent encore.

La droite affairiste britannique ultra-immigrationniste qui s’était ralliée au Brexit avec Boris Johnson est à genoux dans les sondages.

La gauche est au plus haut.

Le problème a toujours été à Londres, pas à Bruxelles, ce qui ne cadre pas avec le discours souverainiste qui tente de tout résumer à une confrontation entre la nation et l’UE. L’UE n’est que l’instrument des oligarchies coalisées du continent, pas l’inverse. Sans révolution pour extirper l’oligarchie qui sévit dans un pays, elle poursuivra son action par d’autres moyens.

Les nationalistes britanniques, qui faisaient de la sortie de l’UE la recette miracle à tous les problèmes, se retrouvent sans perspective. C’est d’autant plus dur pour les nationalistes qui subsistent en Angleterre de s’opposer à ce qui se passe. Ils n’ont même pas l’équivalent d’un truc aussi édulcoré que le RN pour contenir l’agressivité de la bourgeoisie en place.

Dans ces conditions, la traque aux nationalistes est encore plus facilitée.

Le tribunal a également appris que Melia avait un « intérêt obsessionnel » pour Sir Oswald Mosley, qui avait fondé l’Union britannique des fascistes dans les années 1930, et qu’il tentait de « colporter le même antisémitisme ».

Basé.

Si Mosley avait été premier ministre à la place de cette outre alcoolique de Churchill, le monde serait radicalement différent. La race blanche d’Europe serait la plus puissante du monde au lieu de voir chacune de ses capitales transformées en cloaque du tiers-monde.

Melia avait un poster d’Hitler dans son garage, un livre de Mosley dans sa chambre et il a été constaté que la plupart des documents publiés par Hundred Handers étaient « xénophobes, nationalistes et vitrioliques ».

En quoi posséder un poster d’Adolf Hitler pose problème ?

Les juifs ont des piles de talmud chez eux !

Le juge Bayliss a déclaré : « Pour la première fois depuis les années 1930, un risque réel d’antisémitisme flagrant, potentiellement violent, est en train de se normaliser dans nos rues. Il a déjà été utilisé pour déchirer le cœur de la démocratie occidentale. »

Et bien au moins ce juge Bayliss parle franchement.

Le juif est en effet le « coeur » de la démocratie occidentale, ce régime terroriste international qui prospère de la guerre et du pillage depuis qu’il existe.

Bayliss ne se cache pas de le servir. Ce marxiste est un admirateur du terroriste noir Mandela, soutenu jusqu’au bout par les juifs.

Le marxisme a toujours été soluble dans la démocratie de marché, au point de se compléter. Les marxistes sont les idiots utiles du capitalisme bancaire, depuis toujours utiliser pour détruire les structures organiques – familles, nations, races – afin d’amalgamer les masses en un seul bétail subjugué par le consumérisme.

Après l’arrestation de Melia en avril 2021, la police a perquisitionné son domicile et a trouvé une imprimante à étiquettes et des autocollants portant des messages anti-immigration.

Le tribunal avait déjà entendu que la chaîne Telegram Hundred Handers comptait plus de 3 500 abonnés et qu’un autocollant anti-immigration avait même été apposé sur la porte du bureau de circonscription d’un député.

Il a également été dit que les rapports des médias sur les « autocollants » liés au groupe « s’étendaient de la Cornouailles à l’Irlande du Nord ».

Le juge a déclaré à Melia : « Je suis certain que votre état d’esprit est celui d’un raciste et d’un suprémaciste blanc. Vous avez des sympathies nazies et vous êtes un antisémite ».

Et lui est une ordure de communiste.

Donc ?

Melia, qui a également été reconnu coupable d’avoir encouragé des dommages criminels à caractère raciste, a été condamné à une peine de deux ans pour chaque chef d’accusation, à purger concurremment.

Il devra purger la moitié de sa peine en détention avant d’être remis en liberté.

Le chef de la police antiterroriste du Nord-Est, Det Ch Sup James Dunkerley, a déclaré : « Les personnes qui cherchent à semer la haine au sein de nos communautés par des actions telles que l’apposition d’autocollants seront identifiées et traduites en justice. »

Parce que coller des stickers relève du terrorisme dans une démocratie juive.

James Dunkerley

Bravo au héros Samuel Melia. Ce père de famille lutte envers et contre tout, y compris la prison.

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